Auteur : Alain Gagnol
Éditions : Syros
Résumé : Depuis quelque temps, Thomas ne dort plus. Il
a de quoi être inquiet : son chat a disparu alors qu’un tueur d’animaux sévit
en ville...
Une nuit, il distingue une silhouette dans son jardin. Malgré le masque d’opéra
chinois qui cache son visage, Thomas reconnaît Emma, sa voisine. Ce qu’il ne
sait pas encore, c’est qu’Emma est télépathe, et que ce don extraordinaire
pourrait peut-être les mener jusqu’au tueur. Ou mener le tueur à eux.
Même les Araignées ont une Maman aura été une lecture pleine de hauts et de bas pour moi. Si je me suis lancée dans ma lecture en étant très motivée, j’ai rapidement trouvé le roman un peu lent et j’ai reposé mon livre à de nombreuses reprises. Finalement, je me suis un peu forcée pour le continuer et j’ai bien fait puisque j’ai beaucoup apprécié le dernier tiers de ce livre !
J’ai beaucoup aimé la relation entre Thomas et Emma, son évolution, et surtout son impact positif sur Emma. Cette dernière, télépathe, souffre de ce don se transformant en un vacarme assourdissant lorsqu’elle se retrouve entourée de monde. Si c’est très compliqué pour elle, Thomas devra aussi faire un effort pour accepter l’effet principal du don de sa nouvelle amie : ne pouvoir cacher aucune pensée, y compris celles qu’on aimerait ensevelir sous 10 tonnes de terre !
L’enquête en elle-même concernant le tueur d'animaux est pour
moi le point faible de l’histoire. Enfin, elle n’est pas du tout inintéressante ;
au contraire ! Seulement elle méritait davantage de place et un rythme
plus soutenu.
Bref, j’ai dans l’ensemble apprécié la lecture de ce gros bébé même si je reste réticente concernant l’exécution. L’idée était là, l’écriture était sans accro mais il manque un petit peu de pep’s à ce roman pour en faire un coup de cœur pour moi !
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Je viens de découvrir que je pouvais mettre un message ici... Bonjour. Si vous laissez un commentaire vous aurez des crêpes au nutella.