Autrice : Victoria Forester
Éditions : Lumen
375 pages - 16,00€
La Fille qui Pouvait Voler est le petit dernier des éditions
Lumen. Encore une fois j’ai totalement craqué sur le
résumé et la couverture à tomber (mes yeux remercient Marine Gosselin). Forcément, il
fallait que j’en apprenne plus…
Résumé: Piper McNimbus sait voler. Comme ça, le plus naturellement du monde, les doigts dans le nez. Tonneaux, vrilles et loopings, elle sait tout faire. Terrifiés de voir la nouvelle se répandre, ses parents dissimulent ses talents aux yeux du monde... jusqu'au moment où elle se trahit devant la ville entière. Du jour au lendemain, elle se retrouve dans une école top-secrète de haute sécurité, réservée aux enfants dotés de capacités hors du commun.
Là, elle fait la rencontre des camarades aux pouvoirs incroyables : Conrad, un génie en puissance qui sait tout sur tout, Smitty, qui voit à travers n'importe quelle matière, Violette, capable de rapetisser à volonté... Mais même parmi ces gamins extraordinaires, Piper sort du lot... Et elle ne va pas tarder à devoir en payer le prix...
Là, elle fait la rencontre des camarades aux pouvoirs incroyables : Conrad, un génie en puissance qui sait tout sur tout, Smitty, qui voit à travers n'importe quelle matière, Violette, capable de rapetisser à volonté... Mais même parmi ces gamins extraordinaires, Piper sort du lot... Et elle ne va pas tarder à devoir en payer le prix...
La Fille qui Pouvait est un roman au contenu aussi frais que
l’est sa couverture. On se retrouve plongés dans un livre jeunesse absolument
délicieux peuplé de personnages hauts en couleur.
L’héroïne, Piper McNimbus est une enfant bienveillante,
bavarde et curieuse ; une gamine adorable dont on veut être l’ami(e) quand
on est enfant et qu’on veut protéger quand on est adulte. Depuis toujours, elle
peut voler et cela inquiète beaucoup ses parents qui aiment tout ce qui est « bien
comme il faut ». Ces derniers ne sont pas les parents clichés en mode tuteurs
de Harry Potter ; ils ne rejettent pas leur fille mais lui demande cependant
de ne pas utiliser son don qui les inquiète trop.
Aussi lorsqu’une femme douce et compréhensive offre à Piper
la chance d’étudier dans son institut peuplé d’enfants différents, ses parents
n’empêchent pas Piper de vivre une nouvelle vie loin d’eux.
J’ai trouvé très beau le lien qui unit Piper à ses parents ;
autant dire que le livre commençait bien !
A l’institut, Piper peut enfin se faire des amis ; elle
qui n’était jamais allée à l’école et qui n’avait jamais pu jouer avec d’autres
enfants. Une fois arrivée dans l’établissement du Dr Inferna, cependant, le livre
prend un petit coup de mou. Oh, il se dévore toujours avec grand appétit ;
cependant il faut avouer qu’on a un sentiment de déjà vu. Après tout, la
littérature jeunesse regorge de héros aux pouvoirs rejoignant une école
spéciale.
Cependant l’autrice, Victoria Forester, a su ici tirer son
épingle du jeu et nous offre divers rebondissements surprenants. Lorsque je pensais
arriver à la fin de l’histoire (pour info, cette histoire est un tome unique),
elle arrivait à me surprendre et à faire rebondir ses héros vers de nouvelles
péripéties.
Bref, La Fille qui Pouvait Voler est un roman rafraîchissant
et exécuté avec soin. Si il n’est pas le livre le plus original, il se démarque
malgré tout et tire son épingle du jeu grâce à une héroïne qu’on ne peut qu’aimer
et à un final absolument génial !
La couverture est vraiment jolie. Le côté jeunesse me bloque un peu, car ce n'est pas ce que j'ai envie de lire en ce moment. Mais, ça reviendra peut-être, donc je garde en tête !
RépondreSupprimerJe suis méga curieuse, surtout s'il s'agit d'un tome unique ^^ En plus, il y a tous les mots-clés pour me faire passer un super moment et la couverture est magnifique ! Je le note immédiatement dans ma PAL =)
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