Auteure : Gwendolyn Clare
Éditions : Lumen
Traduction : Mathilde Montier
468 pages - 15.00 €
Comme souvent avec les suites, j'ai eu
du mal à rentrer dans l'histoire – surtout quand le tome précédent
remonte à quelques mois. Cependant, après quelques pages, la magie
a encore totalement opéré sur moi. Tout comme D'Encre, de Verre et d'Acier, cette suite et fin nous
ouvre les portes d'un univers superbement imaginé et exécuté.
Résumé : Et si on pouvait
vraiment créer un monde avec de l'encre et du papier ?
En s'armant d'encre et de papier, il est désormais possible de voir naître sous ses doigts des univers entiers. Il suffit, pour accomplir ce miracle, de respecter les règles complexes d'une discipline toute récente, la scriptologie. Elsa est l'un de ces nouveaux savants aux pouvoirs vertigineux. Quand elle découvre avec stupeur que sa mère a mis au point un livre capable de modifier le monde réel, elle n'a plus qu'une idée en tête : récupérer ce dangereux ouvrage avant que ne survienne un drame irréparable.
Mais il est déjà trop tard... Non content de la trahir, Leo, l'ami le plus cher d'Elsa, s'est emparé du précieux livre-monde pour le remettre à son père, le terrible Garibaldi. Ce fou furieux entend bien unifier l'Italie, quel qu'en soit le prix.Dès lors, il ne reste plus qu'un espoir à la jeune fille – et à l'humanité tout entière : celui que ses ennemis échouent à déchiffrer le manuscrit qui pourrait bien réduire à néant la planète...
Saura-t-elle réparer par l'écriture un monde devenu fou ? Une multitude d'univers créés de toutes pièces entrent en collision dans ce deuxième et dernier tome de la duologie. Passé tragique et ténébreuses conspirations, univers de poche et armes ultimes : suivez cette héroïne armée d'encre et de papier à travers une ribambelle de mondes réels et inventés !
En s'armant d'encre et de papier, il est désormais possible de voir naître sous ses doigts des univers entiers. Il suffit, pour accomplir ce miracle, de respecter les règles complexes d'une discipline toute récente, la scriptologie. Elsa est l'un de ces nouveaux savants aux pouvoirs vertigineux. Quand elle découvre avec stupeur que sa mère a mis au point un livre capable de modifier le monde réel, elle n'a plus qu'une idée en tête : récupérer ce dangereux ouvrage avant que ne survienne un drame irréparable.
Mais il est déjà trop tard... Non content de la trahir, Leo, l'ami le plus cher d'Elsa, s'est emparé du précieux livre-monde pour le remettre à son père, le terrible Garibaldi. Ce fou furieux entend bien unifier l'Italie, quel qu'en soit le prix.Dès lors, il ne reste plus qu'un espoir à la jeune fille – et à l'humanité tout entière : celui que ses ennemis échouent à déchiffrer le manuscrit qui pourrait bien réduire à néant la planète...
Saura-t-elle réparer par l'écriture un monde devenu fou ? Une multitude d'univers créés de toutes pièces entrent en collision dans ce deuxième et dernier tome de la duologie. Passé tragique et ténébreuses conspirations, univers de poche et armes ultimes : suivez cette héroïne armée d'encre et de papier à travers une ribambelle de mondes réels et inventés !
Nous retrouvons nos héros peu de temps
après les événements (Qui nous avaient fait dire "Non mais
Léo !! C'est quoi ce bordel ?!!", la bouche tellement grande ouverte que nos mentons touchaient nos chaussures, tu te rappelles ?) de
la fin de d'Encre, de Verre et d'Acier. Tout comme le premier tome,
j'ai eu du mal avec le bon premier quart du roman qui m'a donné
l'impression que l'auteure elle-même avait du mal à « lancer
la machine ». Et comme le premier tome, encore une fois, le
rythme finit par s'emballer pour nos offrir un super roman bourré
d'action et de révélations fracassantes.
La narration, cette fois, alterne entre le
point de vue de Léo et celui d'Elsa ce qui apporte de la profondeur à
l'histoire – faut dire qu'il est pas peu intéressant ce petit
Léo ! Nous avons donc Elsa, Porza et Faraz d'un
côté et Léo, son père et surtout, son frère Aris de l'autre. L'évolution de ces deux-là est particulièrement prenante et je n'arrivais jamais à reposer mon livre si le prochain chapitre suivait Léo tant j'avais besoin d'en savoir plus.
Encore une fois, le contexte de
l'unification italienne et les libertés que prend l'autrice avec
l'univers - sans pour autant insulter l'Histoire - donne à une
dimension bien particulière à cette uchronie. Ce petit plus permet
à cette duologie de se démarquer de ce que l'on peut trouver (et
parfois trop voir) en littérature ado. Un gros point fort !
J'ai adoré la fin – dont je ne vous
dirai évidemment rien - mais je reste très frustrée car ce tome
est annoncé comme le second et dernier... Une suite n'aurait
vraiment pas été du luxe ! Cependant, j'ai toujours été une
grande fan des fins ouvertes permettant à l'imagination de
s'emballer.
De Brume, de Métal et de Cendre est
une conclusion à la hauteur du très bon premier tome, D'Encre, de
Verre et d'Acier. Encore une fois, Gwendolyn Clare nous offre un
roman travaillé aux réelles qualités, tant au niveau
de la narration (parfaite) qu'en terme d'intrigue (ultra intéressante).
Un univers dont la seule limite, est l'imagination... Que demander de
plus ?
Je ne savais pas du tout que c'était une duologie !! Du coup ça me donne envie de sortir le T1 de ma PAL parce que je sais que ce ne sera pas à rallonge ^^
RépondreSupprimerCette duologie me tente de plus en plus, les couvertures, les résumés, ton avis sur ce second tome... ça a l'air tellement prenant, j'espère la découvrir un de ces jours :)
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